Mon été, tu es parti beaucoup trop loin. Hier encore j'avais les Converse qui collaient au goudron. La maison était ouverte et laissait tout passer. Depuis que tu t'es fait la malle, je mets des couvertures sur tout. Janvier, tu vois, c'est blanc comme un linge qu'on n'oserait pas tâcher. Un mois vierge de nous, … Lire la suite de Mon été