Normandie, baby.

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Là, le ciel est bas et touche la mer de ses doigts grisâtres.

Les visages sont pâles ou rougis par le froid, le soleil ne triche pas. Il repose loin des pâturages immenses et des briques brunes qui ont appris à rayonner sans lui. Mais quand il apparaît enfin, il fait parler Monet.

Là, il y a la lumière fragile d’une bougie qui, dans chaque souffle, vous offre le meilleur.

Normandie, je ne t’aime jamais tant que lorsque tu résistes à nos étés, en toi je vois la couleur des jours sans pluie de mon enfance.

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